Hancock en DVD
Hancock [Blu-ray]
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Hancock - Edition simple
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Hancock - Edition collector 2 DVD - Version longue non censurée
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Will Smith, acteur :
"Hancock est compliqué. Il se lève tous les jours et en veut à la Terre entière. Il ne se souvient pas de ce qui lui est arrivé, et personne ne peut l'aider à trouver les réponses qu'il cherche. Ses intentions sont bonnes, mais il a du mal à entrer en contact avec le monde qui l'entoure.
Hancock est comme le quaterback de la fac qui a un talent fou mais se comporte mal."
Will Smith, acteur :
"J'avais très envie de faire Hancock parce que cette histoire est totalement originale. Hancock est un super-héros complètement atypique. En mettant en avant ses émotions et ses problèmes relationnels, les scénaristes ont repoussé les limites du genre et ont fait de lui un super-héros beaucoup plus humain que tous ceux que nous connaissons. En général, l'été est la période des films d'action et l'automne celle des films plus intimistes reposant sur les personnages. Avec Hancock, vous avez le meilleur de ces deux mondes : une histoire pleine d'action et un héros à la fois surpuissant et très vulnérable."
John Dykstra, spécialiste SFX:
"Sur ce film, nous avons utilisé toute la palette des techniques employées par les effets visuels comme le tournage en numérique avec des acteurs pour les scènes où Hancock vole, les images de synthèse pour les destructions et la création de décors virtuels. Comme toujours avec les effets visuels, le plus excitant est de réussir à créer quelque chose d'inédit. Le souci, c'est que la technologie qui existe quand vous commencez un film est devenue obsolète au moment où vous le terminez… Il faut donc sans cesse être capable d'inventer de nouvelles techniques pour garder une longueur d'avance."
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 Zoom avant
 Effets spéciaux en cascade
Pour créer tous les effets spéciaux du film, Peter Berg s'est entouré d'une équipe de techniciens expérimentés composée du directeur de la photographie Tobias Schliessler, du chef décorateur Neil Spisak, du concepteur des effets visuels John Dykstra, et des coordinateurs des cascades Simon Crane et Wade Eastwood, accompagnés des magiciens des effets spéciaux John Frazier et Jim Schwalm.
Une première prévisualisation a été réalisée par Steve Yamamoto. Une étape indispensable comme les storyboards, cette prévisualisation est devenue un outil propre à tous les films d'action, servant de guide de référence à tous les départements créatifs du film.
La majeure partie du film a été filmée en caméras portées, technique très appréciée de Peter Berg, chaque séquence étant tournée de différentes manières et avec des objectifs différents. Le réalisateur s'explique : "Je voulais une dynamique visuelle différente de celle utilisée pour Le Royaume, nous avons stabilisé une partie du travail à la caméra en filmant avec des caméras montées sur grues et des dollys. Ainsi, nous avons pu alterner des plans larges et stables qui soulignent le côté épique de cette histoire de super-héros avec des images plus resserrées et mouvantes."
Pour pouvoir tourner la plus grande partie du film en caméras portables, Peter Berg et Tobias Schliessler, qui avait déjà travaillé avec Peter Berg sur Bienvenue Dans La Jungle et Friday Night Lights, ont fait enfiler à leurs caméramans des harnais similaires à ceux qu'avaient Will Smith et sa doublure pour les cascades. Ils étaient ainsi au plus près de l'action et pouvaient en suivre le rythme.
Simon Crane, le coordinateur des cascades et directeur de la deuxième équipe de tournage, et Wade Eastwood ont supervisé toutes les scènes où Hancock vole, ainsi que les scènes de combats et de poursuites. Leur but n'était pas d'obtenir des mouvements fluides et élégants…
Selon Wade Eastwood, coordinateur des cascades : " Hancock n'est pas Superman ou Spider-Man, quand il se pose il ne fait pas dans la dentelle. On nous a donc demandé de créer pour lui des mouvements qui soient tout sauf légers et gracieux. Nous avons fait des centaines de tests pour régler correctement tous les treuils et les contrepoids qui permettent à Will de se poser en trébuchant ou en tombant à genoux, puis de reprendre son équilibre pour se relever. Nous avons répété encore et encore tous les mouvements avec lui. On m'a toujours dit qu'en plus d'être drôle il était très athlétique, et bien maintenant je peux vous dire que c'était vrai !".
Mon gag favori est celui où il vole en biais et s'écrase en s'enfonçant dans le sol d'une cinquantaine de centimètres. Du point de vue du câblage c'était une cascade facile à mettre en place, mais comme Hancock arrive très vite, c'est très impressionnant à l'image. Dans la scène où il vole au secours d'une femme policier qui se cache derrière une voiture, il se déplace à 55 km/h, tête la première. Pour tourner cette scène, nous avons utilisé plusieurs jeux de treuils pour lui permettre de pivoter et de s'arrêter à côté d'elle mi-assis mi-agenouillé, en un seul plan. Nous avons passé la nuit à installer le système mécanique, et puis nous avons été obligés de tout enlever quand le jour s'est levé à cause de la circulation. Une fois que la rue a été fermée, nous avons tout remis en place et refait tous les réglages avec des sacs lestés. "
Will Smith a tenu à réaliser la majeure partie de ses cascades. Il reconnaît que : "Parfois c'était vraiment flippant ! Voler en pleine nuit à 30 mètres au-dessus de la rue et tomber en chute libre jusqu'à ce qu'un câble vous retienne à 60 centimètres du sol, tout cela en même pas deux secondes, c'est quelque chose ! C'était un peu comme un grand huit mais sans les rails ni la nacelle… Un régal pour les amateurs de sensations fortes, un cauchemar pour les autres !"
SFX
Les effets spéciaux créés par l'équipe de Sony Pictures Imageworks sous la direction du superviseur des effets visuels Carey Villegas et du superviseur des effets numériques Ken Hahn s'étendent du plus petit morceau de mur des décombres qui s'écroulent, aux mouvements complexes des habits et de la peau de Hancock en plein vol, en passant par l'ampleur de la destruction d'un pâté de maisons vues en vue rapprochée et en plan large… Ces effets s'appliquent à la construction des environnements et des conditions météorologiques comme les tornades. Pour les vêtements de Hancock, la difficulté résidait dans le fait que " ce sont les vêtements de tout le monde, il en change tous les jours ; il n'a pas d'identité secrète et n'enfile pas une cape et un costume moulant pour voler et attraper les bad guys. Ainsi, lorsqu'il vole au-dessus de Los Angeles, il est en short et sweatshirt à capuche. Par les SFX, il fallait transmettre le mouvement d'un habit à un autre tout en donnant à l'ensemble un aspect complètement réaliste.
Déjà une suite
Après avoir engrangé plus de 624 millions de recettes mondiales, Hancock est l'un des succès de l'année 2008.
Rien de plus normal d'envisager, d'ores et déjà, un nouvel opus des aventures pour cet anti-super-héros. Son interprète Will Smith a ainsi confié lors d'une interview : "Il y a beaucoup de choses et de personnages qui n'ont peu ou pas été exploités dans Hancock. Il serait intéressant de faire dans une suite, donc il fort probable de voir un Hancock 2 dans les prochaines années.".
Côté réalisation, il semblerait que ce soit à nouveau Peter Berg qui se retrouve derrière la caméra mais rien n'est encore assuré à 100% : Will Smith ayant été mécontent du montage final du premier film. Plusieurs projets de suite pour l'acteur Will Smith qui devrait aussi tourner le prequel de Je suis une légende, toujours dirigé par Francis Lawrence et racontant comment Washington et New York ont succombé à la pandémie du virus transformant les humains en créatures sanguinaires!
Tournage et SFX
Une grande partie du tournage du film s'est déroulé dans les Studios Universal. La maison des Embrey ,située au fond du cul-de-sac d'Elm Street, était à deux pas de Wisteria Lane, le quartier des Desperate Housewives.
Parmi les nombreuses scènes d'action du film, celle de l'ouverture du film où Hancock poursuit un gang de braqueurs sur l'autoroute, a été l'une des plus difficiles pour Peter Berg et son équipe, puisqu'elle a nécessité plusieurs semaines de tournage en différents points de la ville et l'utilisation de nombreux fonds verts pour incruster les SFX en post-production.sage de fonds verts.
Le souci de John Dykstra, spécialiste des effets spéciaux, a été avec l'aide de Sony Pictures Imageworks et Carey Villegas, d'utiliser un grand nombre de SFX différents et surtout d'en créer de nouveaux car pour lui "Une technologie qui existe au moment où vous débutez un film peut être obsolète quand vous l'achevez."
Réalisateur et acteur
Le réalisateur Peter Berg apparaît aussi devant la camera. Il a été acteur dans Collateral de Michael Mann (producteur de Hancock), mais au tout début de sa carrière il est apparu dans Shocker de Wes Craven mais aussi dans des séries à succès comme 21 Jump Street.
En 1997, il était un policier véreux et violent dans Copland. Michael Mann dit de lui : "La confiance que Peter accorde aux acteurs est différente de celle que distillent un écrivain, un réalisateur ou un producteur. Il sait à quel moment il doit retenir une pensée ou une émotion, et comment filmer une scène en fonction d'un acteur, de façon à provoquer chez le spectateur l'émotion qu'il recherche."
Anecdotes
Le titre du film devait être à l'origine Tonight he comes mais juste avant que le tournage ne débute, il a été remplacé par John Hancock puis finalement raccourci à Hancock.
Louise Mingenbach, la costumière créatrice du costume " moulant " de Hancock n'est pas une novice de l'habillage de super-héros, puisque elle avait déjà réalisé les tenues des films de Superman Returns et ceux d'X-Men 1 et X-Men 2.
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L'histoire
Photos 1
L'histoire
l y a les héros, les super-héros et il y a... Hancock. Ses superpouvoirs lui ont souvent permis de sauver d'innombrables vies, mais les dégâts monstrueux qu'il fait au passage ont fini par le rendre impopulaire. Les habitants de Los Angeles n'en peuvent plus et se demandent ce qu'ils ont bien pu faire pour mériter un "héros" pareil. Hancock est une tête de mule irascible qui n'est pas du genre à se soucier de ce que pensent les gens... du moins jusqu'à ce qu'il sauve la vie de Ray Embrey, un spécialiste des relations publiques.
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