L'affiche française

A propos du film
Zoom avant
Le réalisateur
Les acteurs
En Vidéo ou DVD
Autour de "Sphère"














































Les débuts de l'exploration (Photo du tournage)


















































Dans les profondeurs...



























Photo de tournage



































































Le docteur Norman Goodman pénétrant dans la sphère


















































































Sharon Stone et Dustin Hoffman







































































Dans les coursives du vaisseau

SPHERE

Sphère (Sphere), 1998, Barry Levinson, Etats-Unis. Couleur.
Réalisateur : Barry Levinson. Durée : 2h03.
Productions : Baltimore Pictures Constant en association avec Punch Productions Inc.. Distribution : Warner Bros.
Producteur exécutif : Peter Giuliano.
Directeur de la photographie : Adam Greenberg.
Superviseur des effets spéciaux : Jeffrey A.Okun.
Producteur des effets visuels : Tom Boland.
Décors : Norman Reynolds.
Scénario : Stephen Hauser, Kurt Wimmer et Paul Attanasio basé sur le roman de Michael Crichton.
Musique : Elliot Goldenthal.
Interprètes : Dustin Hoffman (le docteur Norman Goodman), Sharon Stone (Beth Halperin), Samuel L. Jackson (Harry Adams), Peter Coyote (Harold Barnes), Liev Schreiber (Ted Fielding), Queen Latifah (Teeny Fletcher), Marga Gomez (Jane Edmunds)...



L'histoire

Dans le plus grand secret, le psychologue Norman Goodman est héliporté sur un bâtiment de guerre, où il retrouve son ancienne compagne, la biochimiste Beth Halperin, ainsi que le mathématicien Harry Adams et son jeune rival, l'astrophysicien Ted Fielding et deux techniciennes, Teeny Fletcher et Jane Edmunds.
Norman avait signé quelques années plus tôt une étude sur les rencontres extraterrestres, où il prônait la constitution de petites équipes pluridisciplinaires, regroupant des biochimistes, mathématiciens, astrophysiciens et psychologues. Le texte va enfin connaître sa première application...

En effet, la marine américaine vient en effet de repérer un immense vaisseau spatial gisant par trois cent mètres de fond...

Une station sous-marine a été construite pour faciliter les recherches. L'équipe va découvrir en pénétrant dans le vaisseau qu'il s'agit d'un engin américain, revenu du futur.
Au centre du vaisseau se trouve une grande sphère, constituée d'une matière fluide aux reflets dorés...


La sphère





A propos du film...

Crichton, l'auteur-scénariste d'Hollywood.

Michael Crichton est l'un des auteurs les plus adaptés de la mecque du cinéma : "Twister", "le 13ème guerrier", "Jurassic Park 1 et 2".
Ses romans sont très imprégnés de science et contiennent souvent de nombreuses hypothèses scientifiques comme le faisait Jules Verne un siècle plus tôt.
Écrits de manière scénaristique et cinématographique, la plupart de ses romans ont été transposés au cinéma avec plus ou moins de réussite (le "13ème Guerrier", bof!). Du côté des réussites, on peut citer "Sphère", où raconte l'auteur, "Je me suis longtemps intéressé à la manière dont on représente dans la fiction des histoires de contact avec une civilisation extra-terrestre. La plupart du temps, ces récits sont limités à la rencontre avec un horrible croque-mitaine ou à des petits gamins maigrelets et pleins de sagesse. Pour moi, cette rencontre, si elle devait avoir lieu, serait plus complexe que ce genre de confrontation. Elle perturberait certainement toute notre conception du monde..."

Tournage

Toute l'action du film se déroule dans une station sous-marine en plein cœur du Pacifique, les difficultés liées à un tournage en pleine mer ont contraint Barry Levinson à recréer les décors dans un chantier naval désaffecté à Mare Island près de San Fransisco.
La faune marine fut créée par un mélange de procédés infographiques et animatroniques. Barry Levinson refusa toute proposition de bestiaire fantaisiste. Il voulait des créatures aussi réalistes que possible -jugeant, a bon escient, qu'elles seraient bien plus impressionnantes que n'importe quel monstre de cinéma !
Le superviseur des effets spéciaux Jeffrey A.Okun et le producteur des effets visuels Tom Boland réalisèrent tous les décors virtuels, dont la Sphère et l'aire de chargement de cargo.

Abyss 2 ?

On pourrait être tenté de comparer ce film avec "Abyss", monumental film de science-fiction, alliant parfois lourdeur et grande créativité, et qui abordait le thème identique de la rencontre avec une vie extra-terrestre, dans un environnement sub-aquatique.
Il est certain que Sphere a un air de ressemblance avec le film de Cameron mais le traitement est différent, moins basé sur l'action que sur l'affrontement psychologique avec cette forme de vie extra-terrestre, capable de donner vie aux peurs des protagonistes. Affrontement psychologique ensuite, entre les trois principaux protagonistes sur les questions "Qui a pénétré dans la sphère ?, Qu'il y-a-t-il à l'intérieur ?", donnant un sentiment de malaise et de claustrophobie à l'ensemble du film.
Ici pas d'effets grandiloquents, le doute s'insinue peu à peu... A noter que le trio d'acteurs fonctionne parfaitement et qu'ils apportent réellement un plus dans un film qui détourne tous les schémas de la confrontation classique pour devenir un étonnant suspense intérieur, un voyage dans l'esprit : de la science-fiction psychologique !




Zoom avant

Sphère a connu des difficultés relationnelles entre le producteur, scénariste et écrivain Michael Crichton et le réalisateur Barry Levinson. Crichton, auteur de best-sellers comme le dinosaure "Jurassic Park", créateur de la série médicale romanesque "Urgences", renvoya le réalisateur Barry Levinson, associé pourtant dans la précédente entreprise "Harcèlement", film pourtant exceptionnel mais assez mal compris lors de sa sortie.

Le chef décorateur Norman Reynolds a reçu par deux fois l'Oscar des meilleurs décors pour deux films : "La Guerre des Etoiles" et "Les Aventuriers de l'Arche Perdue".












Le réalisateur

Barry Levinson a commencé sa carrière comme acteur et scénariste pour la télévision. Il collabore ainsi avec Mel Brooks en 1976, pour "La dernière folie de Mel Brooks" (Silent Movie) et, en 1977, au "Grand frisson de Mel Brooks". ). Il signe ensuite les scénarios de "Justice pour tous", de Norman Jewison, de "Rendez-vous chez Max" pour Richard Donner, et des "Meilleurs amis", de Norman Jewison à nouveau.

C'est avec son premier long métrage qu'il se fait remarquer : "Dîner" remporte une citation à l'Oscar du meilleur scénario et révèle une pléiade de jeunes interprètes, dont Steve Guttenberg, Mickey Rourke et Kevin Bacon., tourné dans les décors de sa ville natale de Baltimore dans le Maryland. Robert Redford lui confie deux ans plus tard la réalisation du "Meilleur", dans lequel l'acteur joue le rôle d'un joueur de base-ball aux côtés de Glenn Close, Kim Basinger et Barbara Hershey.

En 1986, il signe pour le producteur Steven Spielberg, "Le Secret de la Pyramide", comédie fantastique pour adolescents. En 1987, il réunit Richard Dreyfuss, Danny DeVito et Barbara Hershey dans "Tin Men", une recréation nostalgique du petit monde des représentants tôliers de Baltimore, que suivront deux immenses succès internationaux : "Good Morning, Vietnam" avec Robin Williams et "Rain Man" (Tom Cruise, Dustin Hoffman), puis "Avalon", "Toys", la comédie satirique "Jimmy Hollywood", échecs cuisants dans la carrière du réalisateur. Il renoue avec le succès pour "Harcèlement", avec Michael Douglas et Demi Moore, d'après le best-seller de Michael Crichton, puis Sleepers avec Robert de Niro, Dustin Hoffman et Brad Pitt.

Barry Levinson a remporté l'Emmy de la mise en scène et deux Peabody Awards pour"Homicide : Life on the Streets". Une série policière qui montre, sans compromis et d'une manière quasi-documentaire, la vie et le travail des inspecteurs de la brigade criminelle de Baltimore.

Depuis "Sphere", Barry Levinson a tourné "Des hommes d'influence" puis "Liberty Heights" en 1999.


ILMOGRAPHIE SÉLECTIVE
Dîner (id.), 1982.
Le meilleur (The Natural), 1984.
Le secret de la pyramide (Young Sherlock Holmes), 1986.
Les filous (Tin Men), 1987.
Good Morning Vietnam (id.), 1988.
Rain Man (id.), 1988.
Avalon (id.), 1990.
Bugsy (id.), 1991.
Toys (id.), 1992.
Jimmy Hollywood, 1993, (Inédit en France).
Harcèlement (Disclosure), 1994.
Sleepers (id.), 1995.
Des hommes d'influence (Wag the Dog), 1997.
Sphere (id.), 1998.
Liberty Heights, 1999.








Les acteurs

Sphère réunit des grands noms d'Hollywood peu souvent associés à la science-fiction :
Dustin Hoffman, que l'on a récemment vu dans le "Jeanne d'Arc" de Luc Besson, Sharon Stone qui a depuis tourné trois films encore inédits en France dont "The Muse" d'Albert Brooks (sorti en Janvier 2000), et le désormais chevalier Jedï de Star Wars 1 : la menace fantôme : Samuel L.Jackson.

Dustin Hoffman a obtenu un l'Oscar du meilleur acteur pour "Kramer contre Kramer" de Robert Benton et "Rain Man" de Barry Levinson, ainsi que quatre citations à cette récompense, pour "Le Lauréat", "Macadam Cowboy", "Lenny" et "Tootsie". Sa récente prestation dans la satire politique de Barry Levinson "Des hommes d'influence" (Wag The Dog) lui a valu une citation au Golden Globe du meilleur acteur de comédie.

Multipliant sans cesse son registre, Dustin Hoffman fera de chacun de ses rôles suivants l'occasion d'une nouvelle et surprenante métamorphose : en vagabond italo-américain (American Cowboy), en pionnier centenaire (Little Big Man), en mathématicien introverti (Les Chiens de Paille), puis bagnard (Papillon), en comique misanthrope (Lenny), grand reporter (Les Hommes du Président), comédien travesti (Tootsie), autiste savant (Rain Main), gangster mégalomane (Billy Bathgate), pirate bouffon (Hook), paumé (Héros Malgré Lui), savant (Alerte !), avocat (Sleepers), journaliste arriviste (Mad City), producteur mégalomane (Des hommes d'influence), etc…

Né à Los Angeles le 8 août 1937, Hoffman a passé les premières années de son enfance à Hollywood, où son père est accessoiriste et décorateur; c'est à sa mère, grande admiratrice de l'acteur Dustin Farnum, qu'il doit son prénom.

Songeant d'abord à devenir pianiste, Hoffman suit des études de musique au Collège de Santa Monica. Il choisit pour discipline secondaire le théâtre, qui devient bientôt son sujet de prédilection, et entre au Pasadena Playhouse, où il travaille la comédie pendant deux ans avant de suivre les cours de Lee Strasberg.

En 1961, il débute à Broadway dans "A cook Mr General", puis assiste Ulu Grosbard sur la mise en scène de "Vu du Pont" d'Arthur Miller. Quelques mois plus tard; il interprète le rôle secondaire de Bernard dans une version radiophonique de "Mort d'un commis voyageur".

Sa carrière off-Broadway démarre avec une comédie d'humour noir : "Harry, Noon and Night" de Ronald Ribman, ou il tient le rôle d'un officier nazi, bossu et homosexuel. En 1966, il reçoit l'Obie pour sa création dans "Journey of the Fifth Horse" de Lanford Wilson. Il joue, la même année, au festival de Berkshire, une pièce en un acte de Murray Schisgal : "Fragments", qui inaugure sa longue et féconde collaboration avec cet auteur, et obtient le Theatre World Award et le Drama desk Award dans la farce "Eh?", mise en scène par Alan Arkin.

Mike Nichols l'appelle alors à Hollywood et lui confie le rôle de Benjamin, le jeune puceau sentimental du Lauréat, qui lui vaut sa première nomination à l'Oscar et l'impose parmi les grands noms du cinéma américain.

Récemment vedette du dernier Costa-Gavras, Mad city, Dustin Hoffman est à l'affiche de Sphère, mais aussi du film "Les Hommes d'honneur". Deux films réalisés par Barry Levinson, dont Hoffman semble être devenu l'acteur fétiche par excellence.



ILMOGRAPHIE SÉLECTIVE

Le lauréat (The Graduate), Mike Nichols, 1967.
Macadam cowboy (Midnight Cowboy), John Schlesinger, 1967.
Little Big Man (id.), Arthur Penn, 1970.
Les chiens de paille (Straw Dogs), Sam Peckinpah, 1971.
Papillon (id.), Franklin J.Schaffner, 1973.
Lenny (id.), Bob Fosse, 1974.
Les hommes du président (All the President's Men), Alan J.Pakula), 1976.
Marathon Man (id.), John Schlesinger, 1976.
Kramer contre Kramer (Kramer vs. Kramer), Robert Benton, 1979.
Tootsie (id.), Sidney Pollack, 1982.
Rain Man (id.), Barry Levinson, 1988.
Familly Business (id.), Sidney Lumet, 1989.
Dick Tracy (id.), Warren Beatty, 1990.
Billy Bathgate (id.), Robert Benton, 1991.
Hook (id.), Steven Spielberg, 1991.
Héros malgré lui (Hero), Stephen Frears, 1992.
Alerte ! (Outbreak), Wolfgang Petersen, 1995.
Sleepers (id.), Barry Levinson, 1996
Mad City (id.), Costa-Gavras, 1997.
Sphère (Sphere), Barry Levinson, 1998.
Des hommes d'influence (Wag the Dog), Barry Levinson, 1998.







Sharon Stone a débuté au cinéma dans Stardust Memories, où elle incarnait une jeune "déesse" blonde, entrevue par Woody Allen à la vitre d'un train. La même année, elle tient son premier rôle marquant aux côtés de Ryan O'Neal dans "Divorce à Hollywood" de Charles Shyer, et apparaît dans "Les Uns et les Autres" de Claude Lelouch avant d'être le faire-valoir du héros Richard Chamberlain dans "Allan Quatermain et Les Mines du Roi Salomon" de J.Lee Thompson et sa suite : Allan Quatermain et la Cité de l'Or Perdu de Gary Nelson.

Sa carrière devient fulgurante au début des années 90 : de la rencontre avec Paul Verhoeven, qui reconnaît en elle une actrice très intelligente, vont naître deux succès planétaire. Tout d'abord, "Total Recall" avec Schwarzenegger puis deux ans plus tard "Basic Instinct" qui lui fait accéder au statut de star planétaire. On se souviendra longtemps de la scène de l'interrogatoire où la belle croise ses jambes, et du caractère sulfureux de l'ensemble du film : son rôle de tueuse au pic à glace de Basic instinct défraie la chronique, et l'actrice est nominée aux Golden Globes

Malheureusement le sex-symbol hollywoodien des années 90 semble un peu marquée par son rôle et s'en suivent une série de films dans la même veine narrative qui apportent peu à sa carrière. Des films sans grand relief comme "Intersection" (remakes du film "Les choses de la vie" de Claude Sautet) ou "Diabolique" (aux côtés d'Adjani, remake du film "Les diaboliques" de Clouzot), en passant par des polars érotico-psychologiques comme "Sliver" (surnommé Basic Intinct 2!), ou des films d'actions purs et durs comme "L'expert" avec Sylvester Stallone, et même le western parodique avec "Mort ou Vif"... Sharon Stone s'essaie à tous les genres sans retrouver une oeuvre aussi forte que Basic Instinct.

Seule sa brillante prestation en prostituée de luxe sombrant dans l'alcool dans "Casino" de Martin Scorsese en 1995, aux côtés de DeNiro, donne un peu de relief à une série de films peu exaltants.

Depuis Sphere, Sharon Stone a tourné dans "The Mighty", de Peter Chelsom, dans un remake de "Gloria" (réalisé en 1980 par John Cassavetes), sous la direction de Sidney Lumet et dans "la Muse" d'Albert Brooks sorti sur les écrans français en Janvier 2000.


ILMOGRAPHIE SÉLECTIVE

Stardust Memories (id.), Woody Allen, 1980.
La ferme de la terreur (Deadly Blessing), Wes Craven, 1981.
Divorce à Hollywood (Irreconciliable Differences), Shyer, 1984.
Allan Quatermain et les mines du roi Salomon (King Solomon's Mines), Jack Lee Thompson, 1985.
Allan Quatermain et la cité de l'or perdu (Allan Quatermain and the Lost City of Gold), Nelson, 1986.
Total Recall (id.), Paul Verhoeven, 1990.
L'année de plomb (Year of the Gun), John Frankenheimer, 1991.
Basic Instinct (id.), Paul Verhoeven, 1992.
Sliver (id.), Philip Noyce, 1993.
Last Action Hero (id.), John Mc.Tiernan, 1993.
Intersection (id.), Mark Rydell, 1994.
L'expert (The Specialist), Luis Llosa, 1994.
Mort ou vif (The Quick and the Dead), Sam Raimi, 1995.
Casino (id.), Martin Scorsese, 1995.
Dernière danse (Last Dance), Bruce Beresford, 1996.
Diabolique (id.), Chechik, 1996.
The Mighty, Chelsom, 1997, Inédit en France.
Sphere (id.), Barry Levinson, 1998.
Gloria, Sidney Lumet, 1999.
La Muse, Albert Brooks, 1999.







Samuel L.Jackson tourna ses deux premiers rôles marquants grâce à deux films de Spike Lee : "Scool Daze" et "Do the Right Thing", avant d'être consacré par "Jungle Fever", pour lequel il reçoit un prix spécial du "meilleur second rôle" au Festival de cannes.

Acteur fétiche de Quentin Tarantino pour deux de ses films : le détonnant "Pulp Fiction" dans lequel le rôle de Jules, tueur philosophe citant la bible, lui vaudra une citation à l'Oscar et au Golden Globe, et "Jackie Brown", hommage aux films blacks américains des années 70 .

Partenaire de Bruce Willis dans "Piège de cristal 3" (Die Hard3), il compte parmi ses autre films récents "Au Revoir à Jamais", avec Geena Davis et "Kiss of death".
On a pu le voir également dans "Un Prince à New York" de John Landis, "Eddie Murphy Show" de Robert Townsend, "Mélodie pour un Meurtre" de Harold Becker, "Les Affranchis" de Martin Scorcese, "Jeux de Guerre" de Philip Noyce, "Sables Mortels" de Roger Donaldson, "Alarme Fatale" de Gene Quantino, "True Romance" de Tony Scott, "Jurassic Park" de Steven Spielberg, "New Age" de Michael Tolkin, "Menace II Society" d'Allen et Albert Hughes et "Les Révoltés d'Attica", téléfilm de John Frankenheimer qui lui a valu une citation au Cable Ace Award et au Golden Globe.

Depuis Sphère, son emploi du temps est des plus chargés puisqu'on le retrouve à la fiche du thriller, aux limites du surnaturel, "Le 6ème sens", aux côtés de Bruce Willis.
Enfin, il est l'un des piliers de la sagesse, en chevalier Jedi Mace Windu, dans "Star Wars 1 : La menace fantôme" de George Lucas. Costume qu'il reprend dès Avril 2000 pour le tournage du deuxième volet de la "Guerre des étoiles".


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Autour de "Sphère"

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